Anastasia médite. A sa façon. Comme chaque fois qu’elle arrache les mauvaises herbes venues se réinstaller sournoisement dans la cour gravillonnée, son esprit vagabonde vers l’étrangeté attachante de cet endroit, son mystère. A commencer par la course du temps. Etrange, se dit-elle. Quand elle arrive là, et seulement là, l’espace-temps semble aboli, comme protégé par …
