L’abattoir ou plutôt l’officine se trouve fort heureusement en bas de l’immeuble. Helen n’aime pas cet endroit. Sombre et confiné, imprégné d’une forte odeur de renfermé, il a tout d’un repoussoir. Les pharmaciennes, les sœurs « Karamazoff » ainsi rebaptisées pour le plaisir de l’oreille, sont à l’image de leur vitrine, sombres et peu accueillantes. De vieilles …
