Babette se laisse envahir par la morosité ambiante des journées qui déroulent leur uniformité grise. Elles sont lisses ; plates, immobiles. Et elle, elle les subit. Elle végète. Elle ne se reconnait plus dans cette étrangère qui se pose en victime et qui se désintéresse de tout. Elle la déteste. Parfois, pourtant, elle a des sursauts …
